Se défendre du harcèlement
Relations toxiques, harcèlement et emprise : comprendre et agir avec la thérapie brève à Nantes
Les difficultés relationnelles peuvent surgir dans toutes les sphères de la vie : personnelle, scolaire, professionnelle. Parfois, elles prennent une tournure plus grave et s’installent dans une dynamique de harcèlement : une relation de domination où l’un cherche à exercer un pouvoir sur l’autre.
Dans la sphère personnelle : quand la relation devient toxique
Exemple : Julie, 38 ans, vit avec un compagnon qui critique systématiquement ses choix, l’isole de ses proches et la fait douter de ses capacités. Elle ne prend conscience de la toxicité de la relation qu’en découvrant le violentomètre en séance.
Le violentomètre, outil que j’utilise en thérapie brève à Nantes, permet de visualiser les différents degrés de violence psychologique dans une relation. Il aide à poser des mots sur ce qui est souvent minimisé ou banalisé.
Le terme de « pervers narcissique », bien que parfois galvaudé, désigne une forme de harcèlement psychologique insidieux.
Exemple : Marc, 52 ans, raconte que son frère le rabaisse depuis l’enfance, tout en se présentant comme son seul soutien. Grâce à des exercices thérapeutiques, Marc a pu identifier cette emprise et poser des limites.
À l’école : harcèlement scolaire, un fléau souvent invisible
Le harcèlement scolaire est souvent silencieux. Les enfants n’en parlent pas, par peur de représailles ou parce qu’ils pensent que les adultes ne les croiront pas.
Exemple : Léo, 11 ans, est régulièrement moqué pour sa voix et son physique. Il n’en parle à personne, jusqu’à ce qu’un enseignant remarque son isolement et alerte les parents.
Les réponses classiques – exclusion du harceleur, changement d’école – ne suffisent pas toujours. Elles peuvent même renforcer le sentiment d’injustice ou d’abandon chez la victime.
Exemple : Emma, 14 ans, a été déplacée dans un autre collège après avoir dénoncé des moqueries. Résultat : elle a perdu ses repères et culpabilise d’avoir « fait des vagues ».
Au travail : harcèlement professionnel et malaise quotidien
Le harcèlement au travail peut prendre des formes variées : remarques déplacées, isolement, surcharge de travail, dévalorisation…
Exemple : Karim, 45 ans, voit ses idées systématiquement reprises par son manager, sans reconnaissance. Lorsqu’il en parle, on lui répond qu’il est trop sensible.
Les victimes hésitent à parler, par peur de représailles ou de ne pas être prises au sérieux.
Exemple : Sophie, 29 ans, subit des remarques sexistes dans son équipe. Elle redoute de passer pour une « trouble-fête » si elle en parle à la direction.
Thérapie brève : redonner du pouvoir à la victime
La sanction du harceleur n’est pas toujours suffisante. Il est essentiel d’aider la victime à reprendre sa place dans la relation, à inverser la dynamique et à créer un inconfort chez le harceleur.
Exemple : En thérapie, Thomas apprend à répondre par des phrases courtes et fermes à son collègue qui le rabaisse. Petit à petit, le harceleur perd son emprise.
Exemple : Clara, 16 ans, découvre qu’en s’alliant avec d’autres élèves et en affirmant ses limites, les moqueries cessent. Elle retrouve confiance en elle.
Psychopraticienne à Nantes : un accompagnement stratégique contre les relations toxiques
Vous vous demandez si ce que vous ou votre enfant vivez correspond à une forme de harcèlement moral, relation toxique ou emprise psychologique ?
En tant que praticienne spécialisée en thérapie brève selon le modèle de Palo Alto, je vous propose un accompagnement thérapeutique à Nantes.
Un espace d’écoute et d’analyse, pour comprendre ce qui se joue et trouver des solutions concrètes.
Ce que vous trouverez dans mon accompagnement :
Une écoute bienveillante et sans jugement
Une lecture stratégique des dynamiques relationnelles
Des outils concrets pour sortir de l’emprise
Un cadre sécurisant pour expérimenter le changement
Ce que vous ne trouverez pas :
Des recettes toutes faites
Des injonctions éducatives ou culpabilisantes
Des discours normatifs sur les relations